vendredi 9 avril 2010

Les mensonges du 11 septembre 2001

Pour arriver un jour à connaître la vérité...

Ne nombreuses vidéos dénonçant les incohérences des explications de l'administration Bush tournent sur le net, la plupart affirment clairement que les attentats ont été permis par l'administration Bush, celle-ci ayant laissé faire les choses malgré les préventions des services secrets (Voir aussi le documentaire primé à Cannes, Faranheit 9/11 de Michael Moore).
La vidéo la plus complète sur les preuves des mensonges liés au 11 septembre 2001.
Cette vidéo dure 1h22 et est une traduction d'un film U.S., après avoir vu tout ça il est difficile de ne pas avoir des doutes sur la version officielle donnée par l'administration Bush :

Si vous croyez encore que Bush n'était au courant de rien, qu'un avion s'est écrasé sur le Pentagone, que les tours se sont écroulées suite à la combustion du Kérosène des Boeing ou que Ben Laden est dans le coup, alors cette vidéo est faite pour vous !

Personnellement je suis à "ranger"dans le même camps que Dieudonné, Bigard, Thierry Messan ou Marion Cothilard qui comme beaucoup de monde (et ça ne fera qu'augmenter) ne croient pas à la thèse officielle des attentats du 11 septembre.

Pourquoi ce terrible complot me demanderez-vous ? 

Il suffit de réfléchir deux minutes sur l'implication des États-Unis dans les derniers conflits mondiaux de l'après chute du mur de Berlin pour comprendre.

Quels sont les objectifs géopolitiques des États-Unis ?

Rapide résumé des faits :

Pour légitimer les guerres en Afghanistan et en Irak (où sont les armes de destruction massives d'ailleurs?) et prendre le contrôle du pétrole et le pouvoir sur une partie stratégique du moyen-orient.

Il leur fallait trouver une raison (même bancale) pour attaquer avec l'accord du plus grand nombre.
Le sujet est ultra-tabou aux États-Unis, car l'événement est récent et que l'impact émotionnel fut si fort qu'il a généré un immonde patriotisme exacerbé. Monter un peuple contre un autre pour ensuite ramasser le pétrole, telle était l'horrible mission de Bush.
Le sujet n'est pas moins tabou en France, ainsi se risquer à contester la version officielle des événements du 11 septembre expose les gens à de nombreuses menaces.
Dans son interview au Grand journal, Bigard s'explique et parle des menaces de mort reçues et de sa censure par une station radio.
Que dit-il simplement? Qu'il doute de la version officielle diffusée par les médias.
En quoi est-ce que cela peut choquer? Pourquoi fut-il traité d'antisémitisme?

La liberté d'expression et d'information (et la liberté tout court) en France a du soucis à se faire :

A l'inverse, le Québec semble être un pays encore libre et il existe des émissions québécoise où les censurés de France peuvent parler librement :

Sarkozy y est parvenu, en tant que pro-Bush convaincu les médias français sont bel et bien sous la coupe de ce dernier. Pourquoi alors Bigard est traité d'antisémite?
On en revient à l'amalgame entre juifs et sionistes (cf. mon article sur Dieudonné, taxé si rapidement d'antisémitisme).
Les États-Unis ont comme fidèle allié Israël, le gouvernement israélien est régi par des sionistes, groupes jugé extrémiste et qui se sert de la religion pour leur propre intérêt bassement matériel, à savoir prendre des terres aux palestiniens.
Critiquer la version officielle du 11 septembre consisterait à dire (par un raccourci facile) que l'on est contre le gouvernement américain, le peuple américain, le gouvernement israélien et par extension, les juifs !

Absolument incroyable.

Et pendant ce temps le bouc émissaire Oussama Ben Laden court toujours...
Mais étant un ancien de la CIA et ayant aidé les États-Unis a se débarrasser du communisme en Afghanistan, Ben Laden pourrait bien être complice de tout cela.

Quelles sont les conséquences les plus graves de toutes ces manipulations politiques?

Tout d'abord les milliers de vies humaines volées par la folie d'un petit groupe d'hommes qui sont parvenus à leur fins grâce à leur argent et leur maîtrise parfaite de la communication propagandiste, encore plus perfectionné que son utilisation par les Nazis pendant la 2nde guerre mondiale. Deuxièmement, la diabolisation de l'Islam en mettant en avant uniquement les extrémistes de cette religion et alimentant en occident la peur de la différence.
Souvenez-vous de "l'axe du mal" prôné par G.W.Bush...est-ce que l'on peut être président de la 1ère force mondiale et avoir une vision si manichéenne du monde?
Récemment, les rappeurs Eminem et Mos se sont lancés à leur tour dans cette quête de vérité et ont écrit une chanson dénonçant les mensonges de Bush et son implication dans le drame de 2001.

En espérant que la couverture médiatique de ces artistes parviendra à mettre la lumière dans les conscience et à faire tomber ces monstres qui utilisent la religion et la vie humaine à des fins lucratives.

Éteignez votre télévision, votre radio, c'est grave ce qui se passe!

A faire circuler afin de rouvrir le dossier.

statue

samedi 20 mars 2010

L'Histoire secrète du Monde



Ce livre paru en 2009 est très intéressant.
L'auteur, Mark Booth (Jonathan Black est son pseudonyme), dit avoir été initié à différentes sociétés secrètes où il eut connaissance d'une histoire du monde différente de celle enseignée à l'école. C'est cette histoire transmise depuis la nuit des temps que Mark Booth a choisi de retranscrire. "L'histoire secrète du monde" serait codifiée dans les textes sacrés et les créations artistiques de personnes ayant été mis dans le secret de l'enseignement des temples du mystère.
Le livre retrace toute l'histoire de l'humanité jusqu'à aujourd'hui, sous l'angle de l'évolution de la conscience humaine.

Le bouquin est susceptible de chambouler les croyances de certains ou d'être rejeté en bloc par d'autres. L'auteur montre que la symbolique astrologique est à la base de toutes les religions, mais ne cherche pas pour autant à renier ces dernières qui ont contribué à faire avancer l'homme dans sa quête spirituelle, malgré les penchants pour le pouvoir de certaines institutions et les dérives qui en ont découlé au fil des siècles.
À titre personnel le livre "m'a parlé", la philosophie distillé m'est familière et cette ode à l'imagination créatrice me paraît partir de la saine intention de contrebalancer l'excès de matérialisme de notre monde contemporain. Cependant je sais que cet avis ne fera pas l'unanimité, tout d'abord car la multitude de portraits de personnages historiques alourdit certains passages du livre. Les descriptions sont parfois brossées en surface et peuvent donner l'impression d'être orientées par le discours ésotérique de l'auteur, lequel peut être pris pour un imposteur chez le lecteur le plus sceptique et le plus hermétique au postulat de base : La matière fut générée par l'esprit et non l'inverse.
En lisant les 500 pages du livre, je suis désolé de voir à quel point l'astrologie et la spiritualité sont si ridiculisées aujourd'hui alors qu'il semblerait (si l'on admet que l'essentiel du livre est vrai) que ce soit des domaines pris parfaitement au sérieux par ceux qui orientent le destin du monde.
Probablement cette tentative de discriminer l'ésotérisme a pour but de détourner les "non-initiés" de l'ésotérisme qui pourrait les amener à parler d'égal à égal avec les disciples des sociétés secrètes...
Peut être est-ce une volonté purement stratégique de cantonner la populace aux préoccupations bassement matérialistes? Car comme disait Plutarque à l'époque, ceux qui connaissent les vérités supérieurs ont du mal à prendre au sérieux les valeurs prétendument "sérieuses" de la société (page 236 du livre).

Avec ce livre, vous avez la possibilité d'ouvrir votre esprit à une autre dimension. Pas moins réelle que le matérialisme qui domine (provisoirement) notre époque.
Résumé du livre, Best Seller mondial 2009 (et qui a reçu en 2009 le prix du livre "le plus subversif de l'année").
Au passage il aurait inspiré le dernier livre de Dan Brown.

L'histoire secrète du monde
de Jonathan Black
Pour la première fois, un livre traite les grands moments de l’histoire du monde vus par les sociétés secrètes, un incroyable voyage à travers l’histoire spirituelle et mythologique du monde.
Pour Jonathan Black, cette histoire, réservée aux initiés, a commencé à être enseigné dans les « Écoles de Mystère ». On y découvre et transmet les premières explications ésotériques sur l’évolution des espèces et la place de l’homme dans l’univers. Cet enseignement qui contient une dimension cachée et une compréhension de la vie obéissant à des lois mystérieuses, sera préservé et développé pendant des siècles par des sociétés secrètes disséminées un peu partout dans le monde : cabalistes, hermétiques, néoplatoniciens, templiers, rosicruciens ou celtes en occident; soufies, ésotériques Hindou et Bouddhiste en orient.
On apprend ainsi que les faits les plus marquants de l’histoire, de la genèse à nos jours, peuvent être interprétés de manière inverse à ce qui nous a été enseigné et que, vue « de l’autre côté du miroir », certaines expériences humaines inexpliquées du point de vue conventionnel, apparaissent tout à fait convaincantes.
Dans la veine du Pendule de Foucault et du Matin des magiciens, on rencontre dans ce livre des personnages historiques célèbres qui conspirent avec des êtres désincarnés, des monstres et des bêtes fabuleuses, qui vénèrent le diable, accomplissent des miracles, édictent des prophéties tout en essayant de prendre le contrôle du cours de l’histoire .
L’auteur démontre également qu’en utilisant des techniques secrètes, de grands esprits comme Leonard de Vinci, Isaac Newton ou George Washington ont été capables d’accéder à autre état de conscience, une forme d’intelligence surnaturelle, qui leur ont donné accès à des connaissances sur le monde qui nous sont cachées dans notre conscience quotidienne.
Au moment de tourner la dernière page de ce livre, le lecteur s’apercevra que le Sphinx à l’Arche de Noé, le Cheval de Troie ou la Mona Lisa ne sont que quelques une des traces laissés par les sociétés secrètes sur nos monuments, nos églises, dans l’art, les livres, la musique, les films, le folklore et même les histoires que l’on raconte à nos enfants.

Articles (positif et négatif) parus sur le livre 

mardi 16 mars 2010

La stratégie du choc

S’il y a un documentaire à voir pour comprendre le chaos mondialisé dans le quel nous sommes empêtré, alors je vous conseille l’adaptation du livre de Naomi Klein La stratégie du choc réalisée par Michael Winterbottom et Mat Whitecross.
Née à Montréal il y a 40ans, Naomi Klein est journaliste, auteur, cinéaste et militante altermondialiste. En 2000 dans son livre No logo elle dénonçait la perversité de la société de consommation et de la mondialisation économique.
Le film La stratégie du choc sorti le 3 mars 2010 reprend la trame du 3ème livre à succès de la militante.

Des crises « utiles » pour l’ultralibéralisme
Le film fait se succéder des images d’archives entrecoupées de passages de conférences dans lesquels Naomi Klein expose les arguments de son livre. Pendant 1h22, la journaliste nous révèle les événements de ses dernières années marquées du sceau de la doctrine économique de Milton Friedman de l’école de Chicago (prix noble d’économie en 1976 !), laquelle repose sur la provocation d’un choc psychologique pour imposer aux populations des réformes qui ne pourraient être possibles sans crise.
Ainsi le coup d’Etat de Pinochet au Chili en 1973 fut l’expérience test des « Chicago boys » pour juger de l’efficacité de l’application de cette doctrine économique barbare  qui serait, à grande échelle, un calque des expérimentations électromagnétiques menées par la CIA dans les années 50 : manipuler une population suite à un traumatisme collectif qui la contraint à se focaliser sur sa survie à court terme au détriment de ses intérêts  personnels sur une plus longue durée.
De là découleraient les réformes menées en Bolivie par la déportation des responsables de gauche, les libéralisations qui ont suivi la chute du bloc de l’est en Pologne et Russie au début des années 90, la politique de Margaret Thatcher au Royaume-Uni et les politiques pratiquées aux Etats-Unis depuis 1990 et plus particulièrement sous l’administration Bush.
L’auteur prend pour exemple la privatisation progressive de la sécurité aux Etats-Unis qui fut développée « grâce » aux attentats du 11 septembre 2001. La privatisation de l’armée s’est ensuite infiltrée progressivement dans  les conflits en Afghanistan et en Irak.
A l’appui de sa thèse, Naomi Klein met en exergue les réformes qui ont suivi la crise asiatique en 1997 qui aurait été volontairement aggravée par le FMI ou les mesures prises après le tsunami sur les côtés du Sri Lanka en 2004 et l’ouragan Katrina  à la Nouvelle Orléans.
Tous ces événements tragiques seraient liés à l’avènement du « capitalisme du désastre », qui  se servirait intentionnellement des crises et catastrophes pour imposer sous le prétexte de l’urgence la loi du marché et la barbarie de la spéculation, au détriment des valeurs démocratiques.
Par le biais de ce documentaire, la thèse de Naomi Klein trouve un media adapté à sa diffusion au large public. Au-delà du simple diagnostic, le film est propice à la réflexion et à la résistance citoyenne et en temps de crise le message de la journaliste  a de quoi déranger le pouvoir comme semble l’attester sa projection dans seulement 23 cinémas français (bon courage si vous parvenez à la voir en salle !). Bref, autant de raison pour découvrir La stratégie du choc, qui est une source d’informations précieuse pour s’armer face aux dérives du système capitaliste et reprendre notre destin en mains.

Et aujourd’hui où en sommes-nous ?
Naomi Klein semble être relativement optimiste en ce qui concerne l’avenir proche, en effet la « stratégie du choc » ne peut exister que si ces mécanismes sont méconnus du peuple. Aujourd’hui la crise économique mondiale marquerait  les limites de ce « corporatisme » immoral qui attaque lâchement les citoyens dans leur moment de grandes faiblesses.  Aujourd’hui les ficelles seraient trop grosses pour duper les gens.
Difficile de ne pas rapprocher cette « stratégie du choc » à d’autres événements plus récents survenus après la parution du livre, tels que l’exclusion des anciens habitants de l’Aquila en Italie après le tremblement de terre en 2009 ou la justification des restrictions budgétaires en Grèce suite à son endettement amplifié par la banque Goldman Sachs qui aurait spéculer sur le dos du pays tout en se faisant rémunérer par Athènes pour l’aider à gérer sa dette ( ?!?) : http://www.mecanopolis.org/?p=13997
Et en France me direz-vous ? On peut voir que l’essor des mesures libérales a accompagné la dégradation du tissu social.

Diviser le peuple pour mieux régner où comment pratiquer la politique par l’utilisation d’un bouc émissaire : Mettez le feu à la maison en accusant les communistes, Al Qaida, ETA, les racailles ou la nature de l’avoir allumer (raillez mention inutile), puis débarquez tel un sauveur sans oublier de conditionner votre aide selon vos propres intérêts et le tour est joué.
Vous souvenez-vous de l’incendie du Reichstag du 27 février 1933?
Plus le mensonge est gros et plus il passe.


La Stratégie du Choc, de Naomi Klein :






mardi 16 février 2010

Le sommeil de l'âme

"En Afrique centrale, nous connaissons tous la maladie du sommeil. Ce que nous devons savoir, c'est qu'il existe une maladie semblable qui s'attaque à l'âme - et qui est très dangereuse, parce qu'elle s'installe sans qu'on s'en aperçoive. Quand tu noteras le moindre signe d'indifférence et d'absence d'enthousiasme envers ton semblable, sois sur tes gardes!
Le seul moyen de se prémunir contre cette maladie, c'est de comprendre que l'âme souffre, et souffre beaucoup, quand nous l'obligeons à vivre superficiellement. L'âme aime les choses belles et profondes."

Paolo Coelho, La solitude du vainqueur.

mercredi 13 janvier 2010

La fin du monde est déjà là... si nous laissons faire

Effrayés par la violence du monde extérieur, les parents auront tendance à laisser leurs enfants à la maison devant la TV, sans se douter que c’est l'idéologie capitaliste véhiculée par ce média qui a généré ce bordel derrière leur fenêtre…et ainsi le serpent se mordra la queue et le Diable, aussi appelé « Société de consommation », aura gagné son pari.

Ses fidèles se multiplieront et inonderont les magasins, les nouveaux temples d’une religion matérialiste qui fait prévaloir l’Avoir sur l’Être, l’Individualisme au Collectif, et où le vide existentiel se comble grâce à des antidépresseurs, le tabac, l’alcool, les psychotropes, les écrans et autres addictifs, si ce n’est pas carrément le suicide.

Face à notre autodestruction, l’humanité est notre seul salut et la peur notre unique ennemi.

La Bible selon Zooleil Kū-Maât